SENSANTE

EnglishFrenchSpanish
EnglishFrenchSpanish

Les implants

PATHOLOGIES CONSTITUANT UNE CONTRE INDICATION A LA POSE D’IMPLANTS

La pratique de l’implantologie a connu un développement considérable ces vingt dernières années. Le remplacement des dents absentes ne peut être raisonnablement envisagé sans une option thérapeutique implantaire.

Le recours aux implants a révolutionné la prise en charge thérapeutique des patients édentés ou en passe de l’être. Cependant il est important avant toute chose de déterminer la pathologie constituant une contre indication absolue et relative à la pose d’implants.

 

Pathologies constituant une contre indication absolue à la pose d’implants

Une contre indication absolue en implantologie est une interdiction totale et définitive à la pose d’implants liée à un état de sante ou à des traitements du patients et qui ne peut en aucun cas être levées.

Les contre indications absolues liées à une condition médicale des patients sont assez rares.

Les pathologies concernées sont principalement celles qui présentent un risque d’infection focale de type endocardite infectieuse et les maladies ou traitements entrainant des modifications du métabolisme osseux.

 

            Patients atteints de cardiopathies à risque d’endocardite infectieuse

L’endocardite infectieuse est une maladie rare mais grave qui résulte de la greffe d’agents infectieux sur des structures cardiaques lésées.

Les patients dits à risque d’endocardite sont dissociées en deux groupes

Groupe A : pathologies à haut risque

  • Prothèses valvulaires (mécaniques ; homogreffes ou bio prothèse)
  • Cardiopathies congénitales cyanogènes nos opérées et dérivations chirurgicales
  • Antécédents d’endocardite infectieuse

 

Groupe B :

  • Valvolopathies : insuffisance aortique ; insuffisante mitrale ; rétrécissement aortique
  • Prolapsus de la valve mitrale avec insuffisance et / ou épaississement valvulaire
  • Bicuspidie aortique
  • Cardiopathies congénitales non cyanogènes sauf communication inter auriculaire (non à risque)
  • Cardiopathie hypertrophique obstructive (avec souffle à l’auscultation)

 

Patients ayant été victime d’un infarctus du myocarde récent : 06 mois avant la consultation pré implantaire 

 

Les affections du métabolisme osseux

  • Maladie de Paget : caractérisée par un remaniement osseux excessif et anarchique aboutissant à la formation d’une structure et d’une morphologie osseuses désorganisées.
  • L’ostéomalacie : c’est un défaut de minéralisation osseuse en rapport avec une carence en vit D entrainant une augmentation anormale de la malléabilité osseuse.
  • L’ostéogenèse imparfaite : c’est un défaut congénital provoquant une fragilité excessive des os en raison d’un manque de synthèse du collagène de type !

L’insuffisance rénale chronique (IRC)

La radiothérapie cervico-faciale

Patients sous traitement diphosphonate par voie veineuse

Syndrome d’immunodéficience acquise (SIDM)

Leucémie aigue

Pathologies constituant une contre indication relative à la pose d’implants

Le diabète

C’est le désordre endocrinien le plus commun.

C’est une affection chronique dont la caractéristique principale et une hyperglycémie associée à d’autre altérations du métabolisme entrainant entre autre ; une sensibilité accrue aux infections et des retards de cicatrisation.

Entre autres une sensibilité accrue aux infections et des retards de cicatrisation

L’implantologie chez les diabétiques contrôlés n’est pas à risque.

La mise en place d’implants sera réservée aux catégories « risque faible » et « risque modère » sans symptômes de la pathologie déclarés lors de la thérapeutique implantaire.

De la pathologie de claves lors de la thérapeutique implantaire. Les actes à réaliser chez les patients à risque élevé se limiteront aux actes d’urgence et seront réalisée sous antibioprophylaxie ; de préférence en milieu hospitalier.

Patients atteints de désordre thyroïdiens :

 

Hyper et hypothyroïdisme

Les Patients sous corticothérapie

Les patients sous traitement anticoagulant (anti vitamines K)

Grossesse :

Les thérapeutiques implantaires sont contre indiquées durant la grossesse.

 

Dr BA Dame Assane

Chirurgien Dentiste

 

Go Back

L’allaitement

 

L’allaitement pratique pour Maman… et Bébé

[26 avril 2012 – 14h18]

La tétée est un moment intime et privilégié que vous passez avec votre bébé. Position optimale, durée de la tétée, « ambiance »… pour que cette petite fête à deux se déroule toujours au mieux, suivez ces quelques conseils. Avant de commencer, choisissez un endroit au calme. Votre chambre ou le salon, peu importe. L’essentiel est que rien ne vienne vous déranger. Coupez le téléphone portable, mettez une musique douce si vous le souhaitez. Confortablement installée sur un fauteuil, ou même allongée sur un lit ou un canapé… c’est comme vous préférez. Ce qui est certain, c’est qu’« une position correcte est essentielle pour une bonne mise en route de l’allaitement », insistent les auteurs du grand livre de ma grossesse :

La position de la « madone » est la plus répandue. Vous êtes assise, le dos bien droit. Si besoin, vous pouvez vous caler avec un coussin. Le ventre de votre enfant est alors positionné contre le vôtre, et tout son corps tourné vers vous. Lorsqu’il est ainsi placé, sa tête est dans le creux de votre coude ;

La position en « ballon de rugby » consiste à installer votre enfant sur le côté, sous votre bras, les pieds vers l’arrière. Cette technique est particulièrement confortable si vous avez une poitrine volumineuse ou encore, si vous allaitez des jumeaux ;

La position allongée est pratique après une césarienne, ou si la position assise est inconfortable. Elle permet aussi de vous reposer en allaitant. Allongez-vous sur le côté, les jambes repliées, un coussin éventuellement placé dans votre dos. Placez alors Bébé sur le côté, allongé face à vous.

Combien de temps doit durer la tétée ?

« Laissez téter votre bébé aussi longtemps qu’il le souhaite », rappellent les auteurs. En effet, chronométrer le ‘repas’ de votre nourrisson n’a pas de sens. L’objectif est de le rassasier, pas de le gaver. Chaque enfant est différent, et chaque tétée l’est aussi. « La durée d’une tétée peut varier d’une fois sur l’autre, au cours de la journée ». Enfin, au cours d’une même tétée, les mouvements de succion varient. « A la fin ils sont moins rythmés, puis votre bébé s’endort, repu, détendu, le corps relâché et les mains ouvertes ».

Pour que Bébé bénéficie de tous les bienfaits de votre lait, il faut le laisser « vider votre sein pour recevoir les graisses de fin de tétée qui permettent la prise de poids ». S’il est repu, un seul sein suffit. Vous lui proposerez l’autre sein la prochaine fois. Dans le cas contraire, offrez-lui tout de suite le second.

Source :http://www.destinationsante.com

 

Go Back